Points clé
- Trop souvent, les dirigeants cherchent à partir faute d’avoir précisé ce qu’ils veulent et s’ils peuvent l’obtenir là où ils sont.
- Souvent même, ils pensent que c’est impossible de l’obtenir alors même qu’ils n’ont pas dit ce qu’ils veulent.
- Une négociation interne est bien plus facile à mener qu’avec un nouvel interlocuteur.
- Le risque est très faible : la seule chose qui peut arriver, c’est de rester dans son job actuel. Pourtant, nombreuses sont les personnes qui n’osent pas entrer en négociation.
- Oui, l’herbe peut être plus verte ailleurs. Mais autant savoir à quoi on la compare…
Le recours à un conseil externe permet d’être au clair sur ses aspirations, de faire des choix cohérents et réalistes, de préparer leur mise en œuvre et de recevoir le feedback neutre d’un professionnel.
Une sensation de manque…
Beaucoup des dirigeants que je conseille ont l’envie d’évoluer pour « quelque chose de mieux, peut-être ailleurs ».
Même lorsqu’ils exercent une activité valorisante et bien rémunérée, quelque chose leur manque.
Inévitablement, la question vient : faut-il rester dans l’entreprise ou la quitter ?
Parfois, un départ est nécessaire voire indispensable, par exemple lorsque votre job a un effet néfaste sur votre santé ou si vous êtes en conflit ouvert ou dans une relation toxique avec vos actionnaires ou votre DG. Dans ces cas-là, la bonne question est : comment quitter dans des conditions favorables ? Si c’est la cas, contactez-moi pour discuter vos options.
Mais trop souvent, les dirigeants cherchent à partir faute d’avoir précisé ce qu’ils veulent et s’ils peuvent l’obtenir là où ils sont.
L’herbe est-elle vraiment plus verte ailleurs ?
C’est souvent le point de départ de notre collaboration.
Pensez-vous à quitter votre job?
Histoire de David qui voulait quitter son job
David, l’un de mes clients, est un excellent exemple.
A 32 ans, il rejoint comme Directeur du Développement une entreprise en LBO qui vient de lever plusieurs centaines de millions d’euros.
David est un homme exigeant et avide de résultats. Il veut travailler dans une organisation « alignée sur une vision cohérente et ambitieuse »
Le fondateur de la société est un visionnaire créatif qui construit la marque mais peine à formuler une stratégie business claire ou des objectifs concrets.
Dans une structure en formation, David traite « tous les problèmes qui passent ». Il s’épuise et se demande à quoi il sert.
Évidemment, il pense à « chercher ailleurs ».
Comment décider ?
David et moi tombons d’accord sur trois points :
- Ses compétences techniques sont indiscutables et reconnues.
- Il est le seul à pouvoir définir son projet personnel. Sur cette base, il pourra décider si les conditions sont réunies pour le réaliser et s’il souhaite rester ou partir.
- S’il souhaite rester, il faudra dire quel rôle il veut jouer dans l’entreprise et voir s’il peut l’obtenir.
Reconstruire le sens
Je propose d’abord à David un programme de remise-en-forme physique et morale… 🙂
Nous effectuons ensuite un travail de fond sur ses motivations:
- Apprendre, toujours ;
- Participer à un grand projet entrepreneurial ;
- Faire partie de l’équipe de direction, être en charge ;
- Embarquer une équipe avec lui ;
- Créer de la valeur et recevoir sa part des gains ;
- Travailler avec des personnes de qualité ;
- Rester de bonne humeur.
Mon travail avec David consiste aussi à m’assurer qu’il est vraiment porteur de son projet, qu’il communique une véritable énergie et qu’il donne envie aux autres de le suivre.
L’herbe est-elle plus verte ailleurs ?
Nous cherchons les bons éléments pour intéresser les fonds et le fondateur en fonction de leurs intérêts propres :
- Maximiser le retour sur investissement.
- Assurer la croissance par des acquisitions.
- Garantir un fort niveau de fiabilité des processus financiers.
- Maîtriser le processus de sortie des fonds d’investissement.
David fait une proposition basée sur son projet personnel, comment il pense contribuer et comment il s’organisera. Ils sont rassurés de voir une proposition claire, qui correspond bien aux capacités de David et qui sert leurs propres intérêts.
Le Board décide de lui donner les moyens de son action : il constitue une équipe et prend les rênes du développement stratégique et du Corporate Finance de la société.
Au bout de quelques mois, il est nommé CFO et mandataire social. Ses revenus augmentent significativement. Ses responsabilités englobent maintenant les Ressources Humaines.
Points clé
- Trop souvent, les dirigeants cherchent à partir faute d’avoir précisé ce qu’ils veulent et s’ils peuvent l’obtenir là où ils sont.
- Souvent même, ils pensent que c’est impossible de l’obtenir alors même qu’ils n’ont pas dit ce qu’ils veulent.
- Une négociation interne est bien plus facile à mener qu’avec un nouvel interlocuteur.
- Le risque est très faible : la seule chose qui peut arriver, c’est de rester dans son job actuel. Pourtant, nombreuses sont les personnes qui n’osent pas entrer en négociation.
- Oui, l’herbe peut être plus verte ailleurs. Mais autant savoir à quoi on la compare…
Le recours à un conseil externe permet d’être au clair sur ses aspirations, de faire des choix cohérents et réalistes, de préparer leur mise en œuvre et de recevoir le feedback neutre d’un professionnel.
COMMENT JE PEUX VOUS AIDER
Depuis environ 3 ans, quelques dizaines de dirigeants m’ont demandé de les aider à gagner le pari de l’évolution professionnelle.
Plus qu’un coach et plus qu’un consultant, je vous aide à définir le chemin d’évolution qui vous convient, en partant de ce que vous êtes aujourd’hui.
Nous faisons équipe pour atteindre vos objectifs, avec une méthode adaptée à chacun et des outils bâtis sur mesure.
Pour vous, il ne s’agit pas seulement de changer de voie ou de job, mais aussi de gérer des prises de risques complexes. Nous intégrons cette complexité dans vos choix.
L’efficacité de notre travail se mesure aux résultats concrets que vous obtenez.
Si besoin est, je vous entraîne à porter votre projet dans le marché et je vous ouvre mon vaste réseau de contacts internationaux.